Paris 1946, Adolfo Kaminsky |
source : Gallica |
la dernière annonce relevée |
source : Médiathèque du Centre National de la Danse |
Paris 1946, Adolfo Kaminsky |
source : Gallica |
la dernière annonce relevée |
source : Médiathèque du Centre National de la Danse |
L'énigmatique professeur A. Peter's
par Romain Jarosz (1889-1932) source : Dansons ! n°94 |
les seules mentions liant son patronyme, sa profession et son adresse sources : actes de naissances de ses enfants |
source : Centre national de la Danse |
collection personnelle
source |
à propos de Jean-Baptiste Médor maitre à danser à Caen
c'est ICI
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En complément
"Monsieur de la cabriolle au château" l'intervention sur le même sujet, par Sylvie Granger †, au colloque Château et divertissement, Périgueux septembre 2002. publiée dans Rencontres d'Archéologue et d'Histoire en Périgord, Bordeaux, 2003, p. 129-145
Il n'est pas professeur de danse, mais sans doute danseur passionné. Il était homme de lettres, auteur dramatique et directeur adjoint des Théâtres de L'Odéon et de l'Opéra.
Il a publié entre autres, deux petits livres qui méritent une place sur ce blog :
• Les Polkeuses, poème étique sur les célébrités de la polka, par Nick Polkmall (1844). S'il ne signe pas de son nom, il comporte au début cette petite phrase "Honni soit qui mal y polke, Ch. Narrey" qui ne laisse pas de doute sur sa participation.
source |
• Ce que l'on dit pendant une contredanse, par Charles Narrey (1863)
source |
Les 5 figures du quadrilles pantalon, été, poule, pastourelle et galop gravures extraites du livre |
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Bergues a donné le jour à un auteur dramatique, Charles Narrey, qui eut son heure de gloire à Paris, au siècle dernier, et qui marqua avec un certain éclat son passage sur deux de nos principales scènes françaises: l'Odéon et l'Opéra.
Né à Bergues, le 10 Août 1818, Charles Narrey était le fils d'un Officier de la Grande Armée. Il débuta dans les lettres en 1847 par un roman intitulé : « Deux heures de mystère » que suivirent successivement : « A l'hôtel Chantereine », « Les amours faciles, " L'Education d'Achille», « Albert Durer à Venise et dans les Pays-Bas », et quantité d'autres œuvres où l'humour s'unit à l'esprit.
Chacun de ses livres fut accueilli par la critique avec une faveur marquée. L'auteur avait de l'esprit et son style abondant et clair était vivement goûté.
Il a écrit pour divers théâtres, outre cette fine et spirituelle comédie : « Comme elles sont toutes », un certain nombre de pièces, entr'autres : « Le passé et l'avenir » en un acte; « Les Notables de l'endroit », en trois actes, représentés à l'Odéon en 1847 ; « Van Dyck à Londres », « La Dame de Trèfle », « Les Fantaisies de Milord », « Le Moulin ténébreux », opéracomique en un acte (1870) ; « Les marionnettes de Justin », comédie en deux actes (1873).
Il donna encore avec succès, aux Variétés : « Les tribulations d'une actrice », en collaboration avec Michel, en 1857, et l'année suivante, « Feue Brigitte » avec Lemonnier; puis, « Trottman le touriste », pièce en trois actes, avec Lopez (12 Novembre 1860) ; « La Bohême d'Argent », avec T. de Langeac, cinq actes (1862) et « Le Capitaine Amadis », comédie en un acte (1865). Les derniers jeunes gens (1868) ; Le Temple du Célibat (1870): Le Bal du Diable (1874) ; Ce que peut l'amour (1878) ; La Dame aux griffes roses (1879). Albert Bril (BUF 1930)
la suite ICI
Ses œuvres à la BNF qui le fait naître en 1825, et mourir en 1895
Il est bien né à Bergues le 10 août 1818, au Marché aux Pommes, fils de Pierre François Thomas, capitaine du 5e régiment de lancier d'Angoulême, né à Dunkerque en 1777, sa mère Anne Thérèse BON est née à Bergues en 1787. Son décès est enregistré le 26 novembre 1892, 29 rue Clauzel, Paris 9e, il est inhumé le 29 dans une tombe provisoire, son cercueil est transféré le 27 novembre 1895, d'où sans doute l'erreur de la BNF.
passage de l'Opéra, galerie du Baromètre source Gallica merci à Agnès Unterberger qui m'a signalé ce document non référencé |